Écrire un polar, c'est finalement comme composer une musique. On pourrait alors se laisser tenter par un univers jazzy, donner dans la quarte, style be-bop. Mais on s'aperçoit très vite que le rythme binaire convient le mieux. Aussi, même si l'on ne veut pas faire d'infidélités au jazz, on doit reconnaître qu'écrire un polar, c'est une démarche très rock'n'roll.