Un dicton prétend que l'on ne doit pas juger un livre sur sa couverture. Bon, peut-être, mais enfin, une bonne couverture peut parfois (et même souvent) quand même augurer du reste. Et je trouve que celle de "La veuve de Béthune" est à l'avenant de ce qui attend le lecteur. Elle témoigne bien de la situation, de l'ambiance kafkaïenne du roman, où imbroglio et dilemme se disputent la meilleure place, avec pour mission de ne pas laisser le lecteur se reposer, et surtout l'empêcher de décrocher.
Cette couverture est assez simenonienne : visuel du beffroi, symbole des pays du Nord, de la Belgique et autres.
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